Tels sont les propos du maire à notre égard dans une interview publiée hier dans le Dauphiné Libéré. Je serais tenté de lui répondre que s’il a du mal avec l’oral, il doit passer à l’écrit. Il peut lire toutes nos interventions publiques en conseil municipal sur notre site et même un résumé dans notre journal disponible ici puisqu’il est très occupé avec ses nombreux cumuls de mandats .
Évidemment après nous avoir exclu de la majorité avec 22,5 % des électeurs, M. Destot ne s’attendait tout de même pas que nous resterions silencieux devant les dérapages de ce début de mandat : hausse de 25 à 30 % des indemnités des élus, reniement de ses promesses électorales avec une hausse annoncée des impôts locaux dès 2009, menaces sur le logement social à la demande de la droite entrée dans sa majorité… Pour répondre à M.Destot sur le même ton que lui, je rappellerai cette citation de Cervantès qui met dans le bouche de Don Quichotte cette phrase : « Ils aboient, Sancho, signe que nous avançons ».