40 ans d’occupation

Hind Khoury et Jacques Tawil à Grenoble le 23 juin 2007 Samedi dernier la Déléguée Générale de Palestine en France Madame Hind Khoury est venue à Grenoble à l’invitation de la ville pour les rencontres des jeunes musiciens dont un groupe de Bethléem. Elle a tenu à passer un long moment place Félix Poulat où les associations de soutien au peuple palestinien rappelaient que l’occupation des territoires palestiniens durait depuis 40 ans et la guerre des six jours de juin 67.

Aujourd’hui, la communauté internationale porte une grande responsabilité dans la tragédie en cours à Gaza. Après que le dénuement de ce peuple voulu par Israël ait jeté Gaza dans les bras du Hamas lors des élections, l’arrêt de l’aide européenne qui lui maintenait la tête hors de l’eau a conduit au chaos actuel et à l’impasse complète dans laquelle un million et demi de palestiniens sont pris en otages dans un territoire de moins de 10 kilomètres de long. Une action humanitaire est urgente. Pourquoi nos gouvernements ne la demandent-ils pas ?

A propos Gilles Kuntz

Ancien conseiller municipal et d'agglo de Grenoble Habitant la Villeneuve Adhérent à Ensemble!
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1 réponse à 40 ans d’occupation

  1. yan dit :

    Un stade en pleine ville ? certains sont surpris, pourtant depuis 1936 Grenoble avait déja un stade en pleine ville et à quelques mètres de ce lieu. Apparement peu de personnes en ont le souvenir.

    Outil parmi tant d’autres au service du developpement de chacun, comme la maison de la culture, les musées d’art ou de science, comme les troupes de créations artistiques et leurs théatres,les Mjc, les clubs du troisiéme age,les multiples et indispensables associations sportives et culturelles toutes et tous résidents au coeur de la ville.

    Promeneur naturellement nonchalant,j’ai visité le parc Paul Mistral il y a quelques jours. effectivement,certains repéres ont changés, d’autres horizons se sont déplacés, quelques souvenirs se sont envolés, mais une nouvelle impression d’espace s’est imposée, malgrés en périphèrie de ce par cet édifice aux formes encore incertaines, au milieu de ces agressives mais ephémères grues de chantier.

    Au fil de mon parcours entre les nouvelles allées ,j’ai découvert une nouvelle végétation, encore maigre, encore fréle, encore hésitante; une végétation qui ne demande que le temps de lui laisser le temps; le temps d’apprivoiser la ville; une végétation qui demande à la ville de lui accorder le temps de l’apprivoiser.

    Mes souvenirs dans ce parc ne seront sans doute pas ceux de mes enfants ; à mes enfant maintenant à imaginer et à construire les leurs.

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