De passage à Metz où j’ai fait mes études, j’ai poussé la porte de mon lycée : le lycée Impérial sous Napoléon, puis Saint Vincent du nom de l’église et du couvent confisqué, aujourd’hui Fabert, maréchal de France né à Metz.
Le CPE de l’établissement m’a autorisé en tant qu’ancien élève quarante ans avant à me promener dans les bâtiments. Pas grand chose de changé; le cloître autour duquel se situent les classes prépa est resté identique. On se demande même si un coup de peinture a été apposé depuis sur les boiseries. Pas sûr..
Ce “lycée-couvent” a fait suite dans ma scolarité au “collège-caserne” installé non loin de là dans une ancienne caserne sur le même plan que les bâtiments militaires de la caserne de Bonne.
Metz reste toujours aujourd’hui aussi près du glaive et du goupillon !